LE TIBETAIN

LES ENSEIGNEMENTS DU TIBETAIN

DOUZIEME REGLE - INTERMEDES ET CYCLES

 

 

 

DOUZIEME REGLE

 

Le tissu est animé de pulsations. Il se contracte et se dilate.
Que le magicien saisisse le point du milieu et libère ainsi les "prisonniers de la planète" dont la note est juste et bien accordée à ce qui doit être fait.

 

INTERMEDES ET CYCLES

 

Nous en arrivons aux quatre règles qui concernent le plan physique. De bien des manières, leur compréhension est beaucoup plus difficile que celle d'autres règles et, de même, leur application est plus ardue que la théorie. Nos pensées et nos désirs sont souvent justes, mais la réalisation sur le plan physique des idées subjectives, selon la loi et de façon constructive, n'est jamais chose aisée. C'est, toutefois, à ce point-là que le magicien blanc commence le vrai travail, et il s'aperçoit que sa compréhension intérieure juste de la réalité ne produit pas nécessairement la juste activité créatrice. Dans le Traité sur le Feu Cosmique, il y a plusieurs points intéressants à étudier à ce sujet ; j'en citerai un passage.

"Il serait utile de se rappeler que, dans le travail créateur, le magicien se sert de l'influence du rayon courant. Quand le cinquième, le troisième et le septième rayon sont en activité, qu'ils arrivent, qu'ils soient au point culminant ou qu'ils se retirent, le travail est plus facile que si c'est le deuxième, le quatrième ou le sixième rayon qui dominent.

Nous savons que, maintenant, le septième rayon arrive rapidement à dominer et c'est l'une des forces avec lesquelles l'homme travaille le plus facilement. Sous l'influence de ce rayon, il sera possible de construire une nouvelle structure pour la civilisation qui tombe en décadence et pour ériger le nouveau temple nécessaire à l'impulsion religieuse. Sous son influence, l'œuvre de beaucoup de magiciens inconscients se trouvera fort facilitée". (pages anglaises 1021-1022)

Il semble donc que le jour propice est proche et que la génération montante eut, si elle le veut, accomplir l'œuvre magique avec de nombreux facteurs qui tendent à produire des résultats satisfaisants. Le troisième rayon est à son zénith et le septième rayon arrive promptement à une pleine activité.
Beaucoup d'événements contribueront au succès de l'œuvre de l'homme, à condition qu'il garde constamment la juste orientation, la pureté des motifs et de la vie, un corps affectif équilibré et réceptif, et que l'alignement intérieur fasse de sa personnalité le fidèle véhicule de son âme.

Il y a une très intéressante analogie dans les mots : "Le tissu est animé de pulsations ; il se contracte et se dilate". L'idée de base est celle de pulsation, de diastole et de systole, de flux et de reflux, d'activité cyclique, du jour d'activité et de la nuit d'inactivité, de l'afflux et du débit, de choses qui apparaissent et disparaissent, qui marquent le cours de toutes les vies dans tous les règnes et dans toutes les dimensions. Le cycle du jour et de la nuit, signe de l'existence manifestée, doit être reconnu. L'une des choses que tout disciple doit apprendre (pour exprimer la vérité dans les termes les plus simples) est d'acquérir la sagesse basée sur la connaissance juste du moment de travailler ou du moment de s'arrêter. Il est nécessaire de comprendre ces périodes d'intermède qui sont caractérisées par la parole ou le silence. C'est là que se commettent fréquemment des erreurs et que beaucoup de travailleurs faillissent à la tâche.
Toute cette règle pourrait être paraphrasée comme suit, paraphrase qui mérite d'être étudiée avec attention et que je chercherai à éclairer pour vous :

Dieu respire et Sa vie, animée de pulsations, émane du Coeur divin et se manifeste comme énergie vitale de toutes les formes. Elle coule, animée de pulsations dans ses cycles, à travers la nature tout entière, ce qui constitue l'aspiration et l'expiration divines. Entre elles, se produit une période de silence qui est le moment du travail efficace. Si les disciples apprennent à utiliser ces intermèdes, ils peuvent libérer les "prisonniers de la planète" ce qui est l'objectif de tout travail magique accompli au cours de cette période mondiale. Il n'est pas nécessaire de nous occuper de la manière dont la Vie Une du système solaire agit dans les vastes intermèdes de silence méditatif, appelés techniquement pralaya. Il ne nous concerne pas. L'activité du Mental universel et son but compréhensif peuvent être perçus lorsque chaque fils de Dieu aura consciemment accès à son divin héritage. La méthode par laquelle notre vie planétaire utilise les cycles de silence ne concerne que Lui et il faut se souvenir que chaque Logos planétaire a une pulsation différente, une période d'intermède différente et une propre et unique méthode de travail.

Toutefois, ce qui concerne celui qui étudie ces instructions est comment atteindre lui-même à une activité précise et constructive pendant ses intermèdes. Ceux-ci, en ce qui intéresse notre étude, se répartissent en trois catégories :

1.
Les intermèdes vitaux ou les périodes où l'homme spirituel est hors d'incarnation et s'est retiré dans la conscience égoïque. Ces intermèdes, en fait, n'existent pas pour ceux qui sont peu évolués, car ceux-ci passent d'un cycle d'incarnation à un autre avec une étonnante rapidité. L'analogie peut se trouver dans l'agitation que manifeste l'homme ordinaire devant les exigences de la vie et dans la difficulté à être patient et à atteindre à l'état méditatif. Au cours de sa croissance, les périodes d'arrêt entre une incarnation et une autre s'allongent jusqu'au moment où les périodes hors de la manifestation physique dépassent de beaucoup celles de l'expression extérieure. Dès lors, l'intermède domine. Les périodes d'expiration et d'aspiration sont relativement brèves et – insistons sur ce point – ces deux périodes sont déterminées et régies par les desseins de l'âme, formulées et enregistrées par le mental au cours de l'intermède entre deux stades d'expérience. La vie intérieure, lentement développée pendant les intermèdes cycliques, devient le facteur dominant. L'homme assume graduellement une attitude subjective et son expression sur le plan physique est principalement le résultat de la vie de la pensée intérieure et non le résultat de la réaction aux événements sur le plan physique et à l'agitation de la nature affective.

2.
Le flux et le reflux de la vie quotidienne au cours d'une incarnation particulière manifesteront aussi des intermèdes et ce sont eux que l'aspirant doit apprendre à reconnaître et à utiliser. Il doit faire la différence entre l'activité extérieure intense, les périodes de retrait et les intermèdes où la vie extérieure semble statique et sans aucun intérêt. Il doit le faire s'il veut profiter pleinement de l'occasion que l'expérience de la vie est destinée à lui offrir. La vie ne consiste pas en un intense et continu effort d'activité et de travail, ni en une éternelle sieste. Elle a son battement rythmique, sa vibration et sa pulsation propre. Dans certaines vies, le rythme et le mode d'activité changent tous les sept ans ; dans d'autres, ils changent tous les neuf ou onze ans.
Dans d'autres encore, les cycles sont plus brefs et comportent des mois d'effort ardu suivis de mois d'apparente absence d'effort. Certaines personnes sont structurées de manière si sensible que, au milieu de leur activité, des événements et des circonstances se produisent en sorte de les forcer à un retrait temporaire pendant lequel elles assimilent les leçons apprises au cours de la période précédente de travail.

Deux groupes d'hommes travaillent sans un apparent flux et reflux sur le plan physique tout en manifestant un élan régulier au travail. Ce sont des hommes si peu évolués et si bas sur l'échelle évolutive qu'il n'y a en eux aucune réaction mentale aux circonstances ; ils répondent simplement à l'appel des besoins physiques et usent de leur temps pour satisfaire leurs désirs. Ceci ne s'arrête jamais et l'expression de leur vie ne pourrait s'appeler cyclique. Dans ce groupe, les gens qui ne pensent pas et ceux qui ne sont pas civilisés. Puis à l'opposé, il y a les hommes qui sont plus haut sur l'échelle de l'évolution. Libérés en grande partie des exigences physiques, habitués à dominer la nature émotive, ils ont appris à entretenir une activité constante basée sur la discipline et le service. Ils travaillent consciemment selon les cycles dont ils comprennent la nature. Ils connaissent l'art divin de s'identifier à la conscience de l'âme en contemplation et ils peuvent sagement dominer et guider leur activité dans le monde des hommes. Telle est la leçon que doivent apprendre tous les disciples ; c'est l'accomplissement que connaissent les travailleurs spirituels entraînés et les initiés.

3.
Le troisième type d'intermède est celui qui nous intéresse le plus dans l'étude du travail magique sur le plan physique. C'est l'intermède atteint et utilisé au cours du processus de méditation. L'étudiant doit s'y familiariser, sinon il sera incapable de travailler avec pouvoir. Cet intermède ou période de silence intense se divise en deux parties : D'abord, il y a l'intermède que nous appelons contemplation. La définition donnée par Evelyn Underhill, dans un de ses livres, est "intermède entre deux activités". Cette période de silence succède à l'activité, si difficile pour le débutant, qui consiste à faire l'alignement entre âme, mental et cerveau, à calmer le corps des émotions et à atteindre à la concentration et à l'attitude méditative, propres à concentrer et réorienter le mental sur un monde nouveau et l'élever jusqu'à la sphère d'influence de l'âme. Cela correspond, dans la respiration, à la période de l'aspiration. Dans ce cycle, la conscience est intériorisée et élevée. Quand cet effort est couronné de succès, la conscience sort de la personnalité, ou mécanisme, et devient une autre conscience. L'âme devient active sur son propre plan et le mental et le cerveau en sont conscients. Du point de vue de l'activité personnelle, un intermède a lieu qui pourrait s'appeler un point d'attente inspirée. Le mécanisme demeure calme dans la lumière et l'âme pense, selon son habitude, à l'unisson avec toutes les âmes, puise aux ressources du Mental universel et formule son but, en harmonie avec le plan universel. Ce cycle de l'activité enregistrée de l'âme est suivi de ce qu'on pourrait appeler le processus d'expiration. L'intermède prend fin ; le mental en attente reprend son activité et, dans la mesure où il a été correctement orienté et maintenu réceptif, il devient l'interprète et l'instrument de l'âme qui a maintenant dirigé sa lumière sur la personnalité attentive. Par ce moyen, il peut appliquer les plans perçus au cours de l'intermède de la contemplation. La nature émotive est poussée par le désir de rendre objectifs les plans que le mental réorienté cherche à colorer de son expérience et, ensuite, le cerveau reçoit l'impression transmise ; la vie sur le plan physique est alors adaptée de sorte que ces plans peuvent se matérialiser. Ceci suppose un mécanisme bien entraîné, adapté, qui réagit correctement, chose fort rare à découvrir.

La deuxième partie de l'intermède ne devient possible que lorsque la première partie, la contemplation, est exécutée avec succès. Le disciple, qui cherche à collaborer avec la Hiérarchie des Maîtres et à manifester cette collaboration en prenant une part active à Son travail sur le plan physique, doit apprendre à travailler non seulement par la réalisation de la contemplation, mais par l'utilisation scientifique des intermèdes au cours de la respiration, entre le point d'aspiration et celui d'expiration, au sens physique du terme. C'est la science et l'objectif du pranayama. La conscience du cerveau y est naturellement impliquée. L'intermède entre les deux parties de la respiration n'est correctement employé que lorsque l'homme a acquis le pouvoir de comprendre l'intervalle de contemplation qui concerne l'âme, le mental et le cerveau. De même que le mental est maintenu dans la lumière et réceptif à l'impression de l'âme, de même le cerveau doit être maintenu réceptif à l'impression du mental.

Un intermède, donc (du point de vue de l'âme unifiée à la personnalité) se vérifie après la période d'aspiration de l'âme, quand la conscience qui sort a été intériorisée ; un autre intermède se vérifie à la fin du premier, quand l'âme se dirige consciemment vers le monde objectif ; l'expiration remplace l'aspiration et a aussi son intermède. Le disciple doit apprendre à utiliser ces deux intermèdes de l'âme, l'un ayant un effet sur le mental et l'autre, sur le cerveau. Il y a, comme toujours, une analogie sur le plan physique de ce processus, aspiration et expiration divines, avec ses deux intermèdes, silence et pensée.
J'insiste sur les conséquences de ces intermèdes. Dans l'intermède supérieur, la pensée abstraite ou divine impressionne l'âme qui la transmet au mental en attente. Dans l'intermède inférieur, le mental, par la pensée concrète et l'effort d'incarner la pensée divine dans la forme, impressionne le cerveau et pousse le corps physique à l'action.

Ceux qui étudient l'occultisme, qui ont fait preuve d'assiduité au travail et d'équilibre mental, qui ont (pour employer l'ancienne formule des écoles de méditation) observé les cinq commandements et les cinq règles, peuvent commencer à utiliser les intermèdes entre les deux aspects de la respiration physique pour produire une intense activité, et à utiliser le pouvoir de la volonté pour produire des effets magiques. La conscience, concentrée dans le cerveau et qui a participé au travail de contemplation, peut alors s'attaquer au travail qui consiste à matérialiser le Plan sur le niveau physique par l'énergie concentrée de la volonté, employée en silence par l'homme conscient. Il y a donc deux intermèdes de la respiration, l'un après l'aspiration et l'autre après l'expiration. Plus le disciple est expérimenté, plus l'intermède est long et plus grande la possibilité d'un travail magique puissant et celle de prononcer, de manière juste, les mots de pouvoir qui conduiront le plan divin à la manifestation.

Il ne convient pas que je développe ici le travail qui consiste à utiliser les "points du milieu", ainsi qu'ils sont appelés dans la douzième règle, et que le magicien emploie dans le travail constructif. Il use, alors, consciemment de l'énergie et la dirige avec sagesse ; il prend contact avec les forces et les vies qu'il peut employer, à qui il peut commander de lui apporter ce dont il a besoin pour l'exécution de buts spirituels et pour le travail de construction de formes et d'organismes nécessaires. Il poursuit alors le travail de libération des prisonniers de la planète. Il devient ainsi conscient de ses compagnons de travail, du groupe des mystiques et de la hiérarchie des âmes.

Dans des instructions comme celles-ci, destinées au grand public, il serait imprudent de donner des indications plus précises. Ainsi le grand public ne peut pas faire la corrélation nécessaire qui lui permettrait d'accomplir le travail magique pendant les intermèdes. Pourquoi ? me demandera-t-on. Pourquoi garder si secret les détails qui concernent la respiration ? Parce que c'est là qu'intervient le pouvoir de la magie noire. A un certain moment, forcément, la magie blanche et la magie noire en sont au même point. Certains êtres humains dotés d'une volonté puissante et d'un esprit clair et entraîné, mais animés de desseins égoïstes, ont appris à se servir de l'intermède inférieur, celui qui concerne le rapport entre mental et cerveau. Par une intense application et l'étude de la science des centres, ils sont à même d'exécuter leurs plans égoïstes et d'imposer leur volonté et leur autorité mentale aux "prisonniers de la planète". Ils ont ainsi causé beaucoup de mal. Ils n'ont aucun désir de participer à l'intermède supérieur où l'âme est active et où le mental réagit. L'activité intellectuelle et la réponse du cerveau à l'impression du mental est tout ce qui les intéresse. Comme vous le voyez, les magiciens, blancs et noirs, emploient l'intermède inférieur et ils connaissent tous les deux la signification des intermèdes dans la respiration physique. Mais, alors que le magicien blanc agit du plan de l'âme jusque dans le monde manifesté et qu'il cherche à mettre en œuvre le plan divin, le magicien noir agit du niveau intellectuel et cherche à atteindre ses buts personnels et séparateurs. La différence n'est pas seulement dans le motif, mais aussi dans l'alignement et dans la sphère de la conscience et son expansion. Vous comprenez donc le pourquoi de la prudence de tous les vrais instructeurs du travail magique. Seuls ceux qui ont été éprouvés, qui sont fidèles, sincères et purs, sans égoïsme, peuvent recevoir les instructions complètes. Ils peuvent aussi recevoir des informations sur les intermèdes majeurs entre âme et mental et mental et cerveau. Seuls quelques-uns sont dignes de recevoir des informations au sujet de l'intermède mineur entre les respirations dans le corps physique et dans la conscience du cerveau.

Un autre point encore présente de l'intérêt avant que je ne parle des "prisonniers de la planète", et du travail à faire avec eux.

En ce moment, l'humanité traverse un cycle d'activité très grande. Pour la première fois dans l'histoire des hommes, cette activité embrasse l'humanité sur une vaste échelle et dans les trois aspects de la conscience de la personnalité. Les états de conscience physique, émotive et mentale sont puissamment éveillés ; cette triple activité unifiée est accrue par un cycle d'activité planétaire également intense, dû à l'arrivée d'une ère nouvelle, au passage du soleil dans un nouveau signe du zodiaque et, par conséquent, à la préparation de l'homme à travailler avec des forces et des énergies nouvelles qui agissent sur lui. Au centre, le groupe des nouveaux Serviteurs du monde doit faire face à une vraie et réelle nécessité. Son action consiste surtout à se maintenir en un lien étroit avec l'âme de l'humanité, composée de toutes les âmes sur leur propre niveau d'existence par leur activité organisée, afin qu'il y ait toujours ceux qui "travaillent au cours des intermèdes" pour que s'accomplisse le Plan et que la vision soit maintenue devant les yeux de ceux qui ne peuvent encore pénétrer dans le haut lieu secret.

Comme je l'ai dit souvent, ils doivent apprendre à travailler subjectivement afin de garder, dans ce cycle d'activité et d'expression exotérique, le pouvoir – latent chez tous – de se retirer dans le centre. En termes symboliques, ils représentent la porte. Les capacités et les pouvoirs peuvent périr faute d'être utilisés. Le pouvoir de se retirer dans le divin et la capacité de trouver le "sentier d'or qui conduit au clair bassin et de là au Temple du Retrait" ne doivent pas être perdus. C'est le premier travail du groupe des mystiques qui doivent maintenir le chemin ouvert et la voie libre, sans obstruction.
Autrement, la magie blanche pourrait être perdue temporairement et le dessein égoïste de la nature de la forme assumerait une autorité imméritée. Ce fut la catastrophe qui se produisit à l'époque atlantéenne et le groupe des travailleurs d'alors dut se retirer de toute activité extérieure et cacher les divins mystères aux yeux des curieux et des indignes.
Une nouvelle tentative de libérer les "prisonniers de la planète" se fait actuellement. La Hiérarchie, par l'intermédiaire du groupe des serviteurs du monde, cherche à se manifester et à rendre les mystères à l'humanité à qui ils appartiennent en réalité. Pour que cette tentative réussisse, il faut que tous ceux d'entre vous qui ont perçu la vision ou une partie du plan préétabli se consacrent au service de l'humanité, s'engagent à aider jusqu'à la limite de leurs possibilités (cherchez à interpréter ces mots) les serviteurs du monde, à sacrifier leur temps et leur argent pour seconder l'effort des Grands Etres. Ne vous donnez pas de repos, surtout dans votre travail de méditation ; maintenez le lien intérieur ; cherchez la vérité en tout temps. Le besoin et l'occasion propice sont grands ; que tous ceux qui peuvent aider le fassent. Tous peuvent être utilisés si la vraie nature du sacrifice est comprise et si chacun développe son habileté et s'efforce de travailler avec détachement.

 

 

 

Vous êtes ici : Accueil 4 TRAITE SUR LA MAGIE BLANCHE (VIA ALICE BAILEY) DOUZIEME REGLE - INTERMEDES ET CYCLES